Pas trop de chichis, ni trop de complication autour de mes références... ;)
Parfois, il arrive à ma copine Zazie d'exprimer mieux que Baudelaire ce qu'il y a à travers telle ou telle photo. Je t'assure.
Et puis les textes de Mylène alias Vilaine Fermière (même si bon, je trouve que ce pseudo est assez glauque et de mauvais goût), n'ont (parfois) rien à envier à ceux de C. Baudelaire. Si, si.
E N F I N.
RépondreSupprimerEt tu reviens en force! Ca ne devrai meme plus nous impressionner, et pourtant...
Ca t'as fait du bien les vacances!!
RépondreSupprimerC une des mes préférées.
A
Enfin enfin enfin
RépondreSupprimerEncore un rayon de soleil pour me faire sourire
Love
N
NICEEE. LE BLOG reprend finally.
RépondreSupprimerMISSED YOU.
MIch
Le lien avec le poème de Baudelaire est très intéressant. Et le blog en général est recherché et plein de sensibilité.
RépondreSupprimerJe te félicite Gilles.
Joëlle.
SPOT ON!!!
RépondreSupprimersublime...
Back on the spot.
RépondreSupprimerThank you,
Diane
J'adore
RépondreSupprimerY
UF. Juste waaaw
RépondreSupprimerK.
gilouuuuuuu !!! C EST FAMEUX TOUT CA !!
RépondreSupprimerbraaaaaaaaaaaaavo
J'adore
RépondreSupprimerLoved it ...
RépondreSupprimerYou quoted Baudelaire.
RépondreSupprimerImpressing pic
sublime!
RépondreSupprimeryes!
RépondreSupprimeri like.
"fugitive beauté"
l'objet d'amour (ou de désir) fuie tout le temps :(
"je ne sais où tu fuies, tu ne sais où je vais"
et je prefere tellement baudelaire a tes autres references (genre zazie, vilaine fermiere etc.)
@ la mystérieuse LJ.
RépondreSupprimerPas trop de chichis, ni trop de complication autour de mes références... ;)
Parfois, il arrive à ma copine Zazie d'exprimer mieux que Baudelaire ce qu'il y a à travers telle ou telle photo. Je t'assure.
Et puis les textes de Mylène alias Vilaine Fermière (même si bon, je trouve que ce pseudo est assez glauque et de mauvais goût), n'ont (parfois) rien à envier à ceux de C. Baudelaire.
Si, si.
Merci d'être passée en tous cas.
G, on the spot.
'car j'ignore ou tu fuis, tu ne sais ou je vais' Baudelaire - A une passante
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